La Sorgue se prélasse le long de la rue des Teinturiers et passe devant la chapelle des Pénitents Gris. D'habitude mon point de départ est le bleu, là la couleur de base est le vert de hooker avec tantôt de l'ocre clair, tantôt de la terre de pouzzoles, un genre de terre de sienne brûlée un peu rosée. Ci-après les travaux d'approche.
10 commentaires:
Belle lumière et, surtout beaux reflets, Yves. On peut passer longtemps à "flâner" par ton blog en admirant tes "lieux". Un plaisir pour les sens.
Mes préférées sont celles oú il y a de la profondeur, comme par exemple, un chemin qui se perd.
Félicitations.
Yves, je trouve très bien ces aquarelles, spécialement le premier, parce que il i a plus de contraste du claire et l'hombre. Ces blancs des arbres et le pont, font un extraordinaire contraste, avec l’eau et les construction.
A+
Merci Manel, si ces paysages sont de nature à restituer le souvenir du plaisir de la balade, alors je peux considérer que les efforts de restitution picturale qu'ils supposent ne sont pas totalement vains.
Joshemari merci pour ta visite, c'est bien son aspect contrasté qui m'a attiré dans cette scène avec des formes presque abstraites qui se dégagent autant en positif qu'en négatif.
Tiens tiens, je la connais cette rue d'Avignon, un quartier très sympa. Moi j'ai un faible pour la deuxième et ses contours moins précis, plus spontanés en fait.
Bonsoir Yves, une petite préférence pour la première pour les mêmes raisons que Manel et Joshemari. A+
Merci pour ces commentaires, après un crayonné détaillé j'aime bien réaliser une première esquisse rapide dans laquelle je lance des couleurs sans appréhension quitte à tartiner plusieurs couches successives jusqu'à obtention de la bonne teinte, pour aller directement à l'objectif dans une deuxième version en me focalisant sur des aspects plus texture. Mais il est vrai qu'il ne faut pas que la spontanéité du premier jet se perde en route, ce qui n'est pas gagné.
Cathédrale arborescente sur les rives de la Sorgue...
Gi les papes d'Avignon auraient apprécié la métaphore...
Je retrouve dans l'aquarelle du haut la luminosité des platanes et du soleil qui vient se cogner dessus, si en plus, tu ajoutes un petit bout de Sorgue, alors là...je craque.
Très réussi Yves bravo !
Oui Nathalie c'était par une froide après midi d'automne avec une bise assez décoiffante, néanmoins le soleil ardent éclaboussait les troncs des platanes comme aux plus beaux jours et je suis comme toi, la Sorgue ne m'est pas indifférente.
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