Aquarelles en vente ici : https://www.leboncoin.fr/decoration/2284711722.htm. Mon sujet principal : les paysages que j'ai parcourus. Mes lieux de prédilection : la montagne (Ecrins, Ubaye), le littoral (Finistère, Esterel), les villes (Venise, Florence, Rome, Lyon)… Mes sources d'inspiration : Corot, Sargent, Bonington, Sisley... Ma maxime inatteignable : Peindre, c'est ne pas peindre (Antonio Munoz Molina).
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30/01/2010
28/01/2010
26/01/2010
Montée des Carmes Déchaussées 2
Superbe décor de théâtre que cette montée des Carmes Déchaussées qui escalade les pentes de la colline de Fourvière. Le dessin est venu a posteriori pour habiller les taches dont j'avais maculé mon support dans un premier temps et je m'en veux pour les grossières erreurs de perspective que j'ai laissées passer mais c'est fait. Je n'avais pas dans un premier temps identifié l'utilisation que je pouvais faire de ce gâchis. Avant de froisser le papier j'ai rajouté de grandes flaques d'ocre jaune sur le mur de droite qui m'ont incité à persévérer, il y a un peu de cela dans le vieux crépi qui recouvre ces pierres. Il y a si peu de la croûte déprimante au presque regardable...
25/01/2010
24/01/2010
23/01/2010
C'est pas de saison !
20/01/2010
17/01/2010
15/01/2010
Pont Wilson
Quand j'aurai fait tous les ponts de Lyon, je passerai aux places mais j'ai encore de la marge, il y en a 26 et d'ici là ça sera l'été, je compte bien avoir d'autres amusements.
Fort vexé par ce commentaire concernant l'exposition de peinture "Hivernales de Lyon" qui se tient au Palais de Bondy : "on voit moins de petits paysages, la tendance est plus contemporaine". Qu'est ce qu'ils ont, les petits paysages ? Et la peinture contemporaine en question, je ne voudrais pas être méchant mais la plupart du temps on n'a pas très envie d'aller décrypter le message dont l'artiste essaie de masquer la banalité par un foisonnement de signaux sémantiques qui donne mal à la tête. Mais je suis déjà méchant, j'arrête, il faut que j'y retourne ça devait être le goulash qui ne passait pas.
Le Pont Wilson sous la neige de ces derniers jours, le sombre est bleu de prusse, le très sombre est rouge, les grandes masses de couleurs ont été plaquées la feuille à l'envers et roulez jeunesse. La réalité n'est jamais plus vraie que quand on la maltraite, c'est ce que nous enseignent les grands maîtres qui ne sont pas quai de Bondy, non j'ai dit que j'arrêtais. Juste un mot, considérant certaines aquarelles qui me parlent, je vois un point commun dans la transposition des couleurs de la réalité, soit en limitant drastiquement la gamme chromatique (Mineke Reinders), soit au contraire en retenant la petite parcelle de couleur qui se cache en toute chose et en la magnifiant (Susan Abbott).
Fort vexé par ce commentaire concernant l'exposition de peinture "Hivernales de Lyon" qui se tient au Palais de Bondy : "on voit moins de petits paysages, la tendance est plus contemporaine". Qu'est ce qu'ils ont, les petits paysages ? Et la peinture contemporaine en question, je ne voudrais pas être méchant mais la plupart du temps on n'a pas très envie d'aller décrypter le message dont l'artiste essaie de masquer la banalité par un foisonnement de signaux sémantiques qui donne mal à la tête. Mais je suis déjà méchant, j'arrête, il faut que j'y retourne ça devait être le goulash qui ne passait pas.
Le Pont Wilson sous la neige de ces derniers jours, le sombre est bleu de prusse, le très sombre est rouge, les grandes masses de couleurs ont été plaquées la feuille à l'envers et roulez jeunesse. La réalité n'est jamais plus vraie que quand on la maltraite, c'est ce que nous enseignent les grands maîtres qui ne sont pas quai de Bondy, non j'ai dit que j'arrêtais. Juste un mot, considérant certaines aquarelles qui me parlent, je vois un point commun dans la transposition des couleurs de la réalité, soit en limitant drastiquement la gamme chromatique (Mineke Reinders), soit au contraire en retenant la petite parcelle de couleur qui se cache en toute chose et en la magnifiant (Susan Abbott).
14/01/2010
13/01/2010
11/01/2010
Rêve d'hiver
Je ne sais pas vous mais ici ça ne dégèle pas depuis un bon moment et je pense aux promenades des jours meilleurs parmi monts et vallées lorsque l'on aime à s'arrêter à l'ombre pour se reposer des ardeurs du soleil. Ce petit pont fera bien l'affaire. Vestige d'une voie de chemin de fer désaffectée il ment lorsqu'il prétend que la main de l'homme ne détruit pas toujours les paysages qu'il investit, un mensonge bien réconfortant pourtant.
10/01/2010
Rue des Tables Claudiennes
A droite au dessus de la piste d'atterrissage du tramway, l'école des Beaux Arts, très moche en fait ça tombe mal. A votre gauche l'Amphithéâtre des Trois Gaules, c'est comme ça qu'on l'appelle je n'y peux rien, donc un joli tas de pierres tout ce qu'il y a d'ancien (périmé dirait quelqu'un que je connais) et ensuite les arbres du Jardin des Plantes où il n'y a plus beaucoup de plantes de nos jours. Voilà vous saurez tout (ou presque) quand je vous aurai dit que Claudiennes pourquoi et bien tout simplement parce que l'empereur romain Claude, lui même, avait pour ainsi dire son rond de serviette ici puisqu'on appelait cet endroit Colonia Copia Claudia, naturellement vous avez traduit séance tenante la colonie de Claude. Et Tables non pas parce qu'il y avait ici un bouchon du temps de Jules César espèce de cancre, mais parce que tout simplement on a trouvé dans cette pente une plaque de bronze où l'empereur notait sa liste de courses, moi j'ai un calepin à spirale mais ça c'est des coutumes, on ne peut pas juger.
09/01/2010
07/01/2010
05/01/2010
03/01/2010
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