Montée du Change

Rue Josephin Soulary

Une rue selon la plaque municipale, en fait un long escalier aveugle et peu fréquenté qui remonte des quais jusqu'au plateau de la Croix-Rousse. 

Le bas de la Montée du Garillan

Première volée de cette Montée du Garillan qui en compte pas moins de cinq, le long de l'Hôtel de Gadagne.

Montée de la Sarra

Du quai il faut chercher un peu pour découvrir ce modeste escalier qui se glisse entre deux immeubles de rapport   et monte à l'assaut de la colline entre humbles bâtiments de peu d'étages et petits entrepôts. C'est le domaine des chats et autres quadrupèdes peut être moins prisés.

Fontaine Bartholdi

La Fontaine Bartholdi se situe la place des Terreaux, ça a l'air ballot de dire ça pour ceux qui sont nés avec mais à l'heure d'internet il faut penser au reste du monde, c'est ça le problème, le reste du monde est très ignorant et nous devons l'instruire. Cette belle fontaine est due au sculpteur Bartholdi, le hasard fait bien les choses tout de même.  Il y a quelques années des aménageurs géniaux ont eu une sacrée bonne intuition, et si on changeait la fontaine de place, en voilà une idée qu'elle est bonne. Et c'est ainsi que notre pataugeoire nationale se trouve maintenant en biais par rapport à l'Hôtel de Ville que l'on voit au fond alors que tous les bons lyonnais ne l'imaginent pas autrement que pile en face de la maison de Monsieur Collonb.

25 tonnes

25 tonnes ? Est-ce bien la meilleure façon de rendre compte de la vacuité de ce dimanche matin ? Bon c'est fait, de toute façon la réalité est bien trop complexe pour être accessible à notre entendement bien limité. 

Montée du Garillan, encore

Elle a bonne réputation avec ses sages maisons renaissance toutes propres bien rangées le long des escaliers bien réguliers.

Montée des Chazeaux mais en bas

Montée du Garillan 2ème vue

Montée du Garillan

Dans la catégorie fer à repasser, New York a le Flatiron Building, à Lyon il y a cet immeuble de la montée du Garillan, impressionnant aussi.

Montée du Change

Je continue mon petit dépliant touristique.
Au fond les clochers de St-Nizier.

Le bas de la Montée des Chazeaux

C'est marqué dans le titre, en venant de la rue du Boeuf on s'insinue dans une sorte de couloir étroit qui n'a l'air de rien du tout et qui justement n'est pas grand chose. Et c'est au bout de quelques pas que l'on découvre l'étendue du défi, ce n'est pas le Mont Viso mais ça y ressemble. C'est précisément ce qui vient d'arriver à ces charmants jeunes gens. Va falloir changer de braquet mes p'tits gars.
Oui j'ai un peu raté ce bleu mais il fallait bien un peu de mystère au bout de ce défilé. On fera mieux la prochaine fois (ou pire). Les bleus, c'est compliqué, on le savait ça.

Les Chazeaux, sens montée

Parmi les multiples passages qui permettent de gravir la colline de Fourvière, c'est l'une des montées les plus spectaculaires, près de 30 m de dénivelé donc probablement une centaine de marches, l'équivalent d'un immeuble de dix étages tout de même... 

Quai Pierre Scize

Encore les quais de Saône, jour de crue. Par endroits des canards font trempette dans les eaux douteuses de la rivière qui prend ses aises sur les quais, fait des petits tas de sable, nettoie les galets, les herbes folles trouvent leur compte dans ces débordements.
On s'éloigne des quartiers anciens, les grandes tours de l'Observance, dites résidence du Belvédère, visibles de toute la ville, se dressent comme des moignons sur une crête au dessus de conservatoire de musique.